jeudi, juin 30, 2005

Ça me troue le cul ...

J'en reviens toujours pas ...
On devait jouer(de la musique) avec Ràmon, Chris, Mat et Istzvan devant 1200 personnes ...

Après un SoundCheck pourri à midi trente (qui était prévu normalement à 9 heures du matin au début et que Ramòn avait réussi à décaler à 11 heures ... ) ... nous avons attendu patiemment 5 heures et 47 minutes .... pas de loge (" Excusez nous ...on vous a oublié lors de l'assignation des loges) pas de bouffe à midi ( " Excusez nous ..mais allez prendre des sandwiches dans la loges des techniciens ... " 3 tiers de sandwich secs pour 5 !!! Merci )

Bref ... on devait jouer à 16 heures ... puis 16 heures 30 puis .... finalement à 18 :42 ... une vague de " Mais purée qu'est ce qu'on fout ici à attendre ?" nous a pris ...

alors on s'est cassé ...

Y a des jours ..et ben tu te demandes ....

c'est beau l'organisation ....
Comme disait George Abitbol : " Monde de merde ... "

Crise della quarante-haine- phase 1- ça se soigne pas

"Miroir, mon beau Miroir : dis-moi qui est la plus belle?"
"-Y' répond jamais ce con" me disais-je en mon for intérieur cranien.
Pourtant je traque sans répit tous les points conseil-beauté des magazines, puis, j'essaie de ne pas me coucher trop tard pour compenser un lever tôtif (?inverse de tardif!), puis, je me tiens bien droite chaque fois que j'y pense, puis, j'expire (sans essayer de mourir) longuement en gonflant mon ventre et inversement j'inspire (personne en ce moment) en rentrant le bide (avec les bourrelets, mais ça c'est de la théorie), puis, je monte les escaliers (quand il y en a) sur la pointe des pieds en rentrant les fesses, puis, je bois des litres d'eau par jour (à me demander si je ne suis pas la cause de l'assèchement de certaines nappes phréatiques), puis, puis, puis... Puis? Rien!
Il y a toujours un détail qui sonne comme une cloche...
Un petit truc qui se cache (mal), un peu comme un éléphant sous un platane...

Difficile à avouer, mais à la longue, ça devient franchement déprimant!
Tiens prochaine épreuve : la plage!
Mon premier pire cauchemar...
Ventre plat, fesses galbées, seins fermes et moulés dans un mini-maillot ... bon ça c'est comme je voudrais que cela soit, parce qu'avec 27 mois de maternité ..., il n'y a que la couleur du maillot qui soit au top finalement ...
"-Bon, allez, positive!" me dit la voix de mon fort extérieur cette fois!
Tu n'as qu'à aller t'allonger sur un transat situé entre deux plus moches ...
Et puis, le soleil va réhausser ton teint d'endive : ça ira mieux en septembre...
Mais, soudain, après un petit plongeon et une séchade sur le ventre avec un retourné en souplesse pour m'étendre sur le dos, c'est l'horreur!! Mes cheveux se mettent à frisotter n'importe comment!! Ah!! mais revenez donc mes belles boucles vaporeuses!!
Pas le choix, va falloir rentrer D.T.U. !!*
Bin, ça non, alors, c'est pas possible non plus!!
Il est HORS DE QUESTION de passer devant les deux naïades à l'entrée, aux chevelures longues, lisses et soyeuses que j'évite de regarder depuis tout à l'heure, parce qu'elles cherchent à m'hypnotiser comme des serpents à sonnettes en ondulant langoureusement leur chevelure de droite à gauche, façon casting télé pour un shampoing qui le vaut bien.
Reste plus qu'à retourner pour m'auto-noyer, du moins éviterai-je en plus de chopper le syndrôme cutané du "homard tomate".
Je sortirai quand il f'ra nuit...
On a bien le droit d'être de mauvaise humeur des fois, quand même!!

Druzi Lafury
(extrait de "Le couac 40? côté en bourse?")


* De Toute Urgence

mercredi, juin 29, 2005

Toujours pas le temps ...trop de boulot et ..

Ramòn m'a embarqué dans une de ses combines ... ou ya plein de risques et pas d'argent au bout ...

bon pas grave ... on tente pareil .... a bientôt ... ou Adieu ...
La bise ...

mardi, juin 28, 2005

pffff

Désolé pas eu trop le temps
Trop de travail en ce moment
Faut que j'évite le mur droit devant ...

lundi, juin 27, 2005

alors ?

Si je n'écris rien ...personne écrit ? c'est ça ?
N'oubliez pas que malgré la chaleur actuelle ... ce n'est rien à côté de l'Enfer qui vous attend si vous ne participez pas à ce Blog auto-destructeur ...
Ma vengeance sera terrible si vous relâchez vos efforts ... et surtout les muscles du sphincter ...

Mon Haiku du Jour :

Bon j'ai du boulot en retard ...
je reviens plus tard ...
se lamente un Pauvre Bâtard ...

mercredi, juin 22, 2005

Dialogue bizarre du matin

Bon je cache les noms ...on ne sait jamais :

"- Sais-tu quand Faudelino a décidé de revenir ? J'aimerai assez leur faire un p'tit coucou par surprise ...
- moi j'aime pas les surprises par derrière ...
- Si c'est par devant ...c'est plus une surprise .... C'est une récompense ou raie qu'on panse ...ah non ..ça c'est par derrière en fait ... "

voilà ...
bon ok ...je sors ...

mardi, juin 21, 2005

Merci Ramòn ...de me faire passer pour un con ...

Purée faut que je recommence ..cette saloperie d'imprimante déconne à fond :
1- elle prend pas en compte que je lui demande LANDSCAPE !!!! salope !!
2- ça me prend 30 minutes car elle jamme à chaque feuille : "Paper jam ...please pull out the first tray in order to clean the tray ..." (je t'en foutrai moi ....)et je dois ouvrir l’imprimante pour enlever une feuille 6 fois de suite !!!
3- j’ai failli mettre un coup de latte dedans mais y avait du monde qui arrivait …alors j’ai juste latté la poubelle comme un con … les autres ont baissé la tête mais ça y est je suis sûr qu’ils pensent que je suis malade …mais sont trop lâches pour me le dire en face ...


en plus j'imprime ça pour Ramòn ...même pas pour moi ...
Je suis d'humeur à envahir le Costa Rica, Slobodan ... en plus je connais un gars qui loue une maison là-bas ...comme ça on dormira gratos !!!

C'est laid tes ....eeuuhhh ... non rien ...

Purée je me lève et c'est l'été ...incroyable ... à quoi ça sert de mettre des dates à des évenements qui bougent sans arrêt ... telles des taies d'oreiller sauvages ...
Bon là ça va il fait beau ... mais si il pleut ewt qu'on te dit ..C'est le premier jour de l'été ... tu te dis ..mais c'est n'importe quoi leurs dates ...

et effectivement .. c'est un peu tout et n'importe quoi ... là je vous en parle mais en fait je m'en fous un peu ..c'est juste que je peux pas mettre des photos comme El Direkktorrrr Slobodan 1er sinon j'en aurai mis une tonne ... depuis que j'ai un appareil numérique qui fonctionne bien ! mais bon ... je peux pas ici ... accées bloqué ...boulot oblige ... alors que ça c'est plutôt un défouloir ... t'essayes de dire des conneries sur ce blog ...histoire de pas les dire à haute voix au gars qui est en face de Toi .... non ?
Bon de toute façon je les dirai pareil les conneries ...me font chié ces cons ... et encore je suis poli !

Allez c'est pas le tout mais j'ai du boulot quand même et juste gueuler ...ça me fera pas avancer ... et si je commence un truc je veux le finir et bien le finir ...

Je cite deux phrases mythiques de mon père (qui doivent sûrement rejoindre celles de nombreux pères ) au sujet du travail bâclé - et qui font marrer Ramon :

"- Si c'est pour faire ça ....c'était pas la peine ...."
et
" ...et là c'est fini là ? ....pfff c'est ni fait ni à faire ..."


Bonnet T !

lundi, juin 20, 2005

L’idée que la vie est un bien et que nous méritons la liberté et le bonheur se transmet en y croyant.

Ce n'est pas moi qui le dit ...c'est Lya LUFT dans son livre "Pertes et profits" ...

Comme quoi ...croire permet de faire pas mal de choses ... mais permet aussi d'en camoufler pas mal aussi !!
Nous sommes à la fois responsables et innocents de ce qui nous arrive selon nos choix, faits de façon véritables ou bien forcés ou alors omis (volontairement ou pas) ...

En gros ... pas de Destin ... tout est de notre faute selon une culture judéo-chrétienne ; tout arrive grâce à nous selon une culture humaniste "généraliste" ...

voici un petit extrait si ça vous tente de le lire ... très intéressant :

"Construire un être humain, un 'nous', est un travail qui n'admet ni vacances, ni repos : il y aura des murs fragiles, des calculs mal faits, des fissures. Il y aura peut-être même un pan de l'édifice qui s'écroulera. Mais il y aura aussi des fenêtres qui s'ouvriront sur le paysage et des balcons sur le soleil. Ce qui adviendra, maison habitable ou ruine stérile, sera la somme de ce qu'autrui a pensé et de ce que nous pensons de nous-même, de l'intensité de l'amour des autres pour nous et de celui que nous éprouvons pour nous-mêmes, de ce qu'ils nous ont fait penser que nous valons et de ce que nous avons fait pour confirmer ou modifier ce jugement, ce sceau, ce cachet, cette marque. Toutefois, cela serait encore trop simple : ce mortier est un mélange de bonne volonté et d'ambiguïté, de séduction et de célébration, de mots d'amour et d'invitations refusées. Nous participons à une danse singulière de masques superposés derrière lesquels se dissimulent nos inquiétudes."

Chapitre : 2 - Dessiner au fond du miroir - Page : 22 - Editeur : Métailié -

vendredi, juin 17, 2005

JOUR Ji

Jour J
J vais
J étais bien
J serai bien resté
J reviendrai pit’ete
J reviendrai pit’ete opas
J ai connu des gens sympa
J ai connu des gens très sympa
J suis resté très longtemps
J ai passé du temps et des années
J en ai réparer des machines et des pc

J vais
J m’en vais
Jrouette
Jboulé
Jrafe aussi….

bye

Rappel : Pour les filles… (lire J’y pour « J »)

jeudi, juin 16, 2005

31 décembre 1999

- Mais où as-tu appris tout ça ?
- Parfois il suffit juste de réfléchir ...
- Oui, je sais mais par où commencer ?
"Par où commencer" telle était la phrase qui m'avait poussé à accepter ce travail et à écrire ce journal. Ces hommes savaient que si je commençais cela, j'irai jusqu'au bout... un de mes points stupides d'honneur que je m'étais fixé et dont je ne pouvais me défaire. Il était 20:02 en ce 31 décembre 1999 et il ne me restait que 4 heures pour mener à bien ma ... mission et j'avais mal à la tête. Pour l'événement qu'était le passage en l'an 2000, des TV avaient été installées partout retransmettant les festivités mondiales. Les écrans géants pullulaient dans la ville. C'était comme si "Blade Runner" était devenu la réalité d'autant plus qu' Harrison Ford était décédé d'un arrêt cardiaque lors de la suite de ce film, 2 mois auparavant. Les choses allaient mal depuis 6 mois. Le soi-disant remède contre le virus HIV avait été un désastre rétablissant les malades pendant 4 mois pour les amener ensuite directement au stade terminal. De plus, plusieurs millions de personnes hantées par le virus avaient achetées cette pilule miracle et avaient eux aussi succombées faute d'anti-corps. L'ambiance était tendue entre les prévisions de bonheur, de "party" et la fin du monde imminente. Des brigades anti-émeutes circulaient dans toute la ville, ce qui avait pour but inverse d'échauffer tous les esprits.

Moi-même, j'étais devenu des plus paranoïaques et de nombreuses choses, où que j'aille me semblaient suspectes. Après m'être fait virer de mon emploi de chimiste pour insubordination, voie de fait, laisser-aller et vol de substances illicites, j'ai cherché dans un autre domaine mais étant donné que maintenant chacun possédait une place précise, dans un ordre bien particulier afin d'obtenir un emploi ou une indemnité, il aurait fallu que j'attende près de 5 ans afin d'avoir droit à quelque chose compte tenu de mes antécédents professionnels.
Tout ce système était maintenant hiérarchisé. Il n'y avait pratiquement plus de travail. Tout était sous contrôle du gouvernement et le gouvernement choisissait de donner tel emploi à telle personne selon une capacité jugée par le susnommé gouvernement. Sa politique fonctionnait maintenant sous le mode répression. Toutes ces peines de mort pour laisser plus de place. La plupart des meurtriers pris sur le vif étaient abattus sur place et de nombreuses bavures étaient commises. Peu importait cela servait à réduire le nombre de la population : trop de monde, trop de bruit, plus de travail, pas de nourriture, pas de logement. Il fallait faire quelque chose. Il fallait sauver le monde car vu de là, il agonisait.
La plupart des personnes qui avaient pris les pilules anti-HIV positive avaient été des personnes importantes, certaines avaient contracté le virus, d'autres pas, mais cela avait surtout désarçonné la société car les journaux signalaient en gros titres que c'étaient les "mauvaises" personnes qui mouraient et que bientôt il n'y aurait plus d'intelligentsia. Je souriais doucement en lisant cela car le plupart de ces personnes avaient été de fieffés menteurs et voleurs malgré leurs prouesses indéniables en paroles et écriture. Je me félicitais de ne pas être aussi intelligent. Comme d'habitude, les louanges arrivaient facilement après la mort.
"Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers" pensais-je sans arrière pensée ou presque.
J'avais du mal à excuser l'attitude de certains policiers mais souvent, ceux qui ont les mains les plus sales sont intouchables. J'avais moi-même commis des erreurs et j'en avais payé le prix.
Mais il fallait faire fi de cela. L'heure était à ma mission et je ne devais plus m'en détourner. Oublier les soucis quotidiens car je devenais au-dessus de cela. J'acquerrai un autre statut en voulant sauver des millions de gens et sûrement certains qui ne le souhaitaient pas..
Et quel est mon prix à cela ?
Rien. Je ne demande rien...
Peut-être une reconnaissance, une petite place avec mon nom inscrit,..., une statue...
Et voilà que l'entité humaine reprenait le dessus ! Il faut que je me consacre à mon but, à la qualité de cette ultime approche de la perfection. Mais assez parlé. Je reprends mon travail.
21:14 : J'ai perfectionné la sensibilité de ma future et proche ''gloire". Mais la célébrité n'est que d'un intérêt second. Hier, j'ai rencontré une femme dans un bar. A ce moment, j'ai pensé qu'elle pourrait être l'élue. J'aurai pu fonder un foyer et avoir des enfants mais elle m'a déçue. La soirée s'était bien passée. Nous avons mangé de très bon steaks chez Nickels (seul restaurant accessible, dernier privilège que je m'offrais avant l'ultime rendez-vous ... et le café est à volonté [!]) mais au moment où j'allais la raccompagner, elle m'a demandé de l'argent pour que je rentre avec elle (elle vivait dans un hôtel miteux dans le nord de la ville), surpris, je lui donnais 20 $ et là laissais sur le trottoir tandis qu'elle m'insultait sans raison apparente, me semblait-il. Je me suis dit que je ne la rappellerai pas. Elle ne serait pas une bonne mère. Je décidais de rompre et d'éviter de prolonger mes douleurs crâniennes.
22:04 : Je suis toujours chez moi, dans un appartement stupide et sans cachet, sans style. J'aurais voulu être "spécial" et j'ai l'impression de ne pas appartenir à ce monde de ne être né à la bonne époque, au bon moment, dans le bon pays. J'aurais voulu avoir un corps et un esprit parfait mais non... je dois traîner ma pesante carcasse sur cette terre infâme. Les voisins du dessus font hurler leur stéréo avec une quelconque musique pseudo-branchée. J'ai envie de monter et détruire cet objet-bruit mais je suis conscient de l'extrême nécessité de conserver mon calme. La douleur brûle mon crâne. Bizarrement, j'arrive à situer cette douleur... juste derrière mon oeil gauche. Peut-être qu'en le retirant... mais je chasse cette idée... trop complexe pour ensuite mener à mes opérations.
22:44 : Dehors il fait chaud et humide. Les derniers essais nucléaires effectués dans l'espace ont déclenché un décalage climatique hors-norme. Au lieu des - 20 degrés celsius habituels', j'ai l'impression de me retrouver au Brésil en pleine forêt amazonienne à l'exception des arbres. Les insectes ont tout envahi. L'air est devenu difficilement respirable et depuis presque un an, l'organisation mondiale à l'aide humanitaire avec l'aide des gouvernements a installé des systèmes souterrains de rejets de gaz carbonique et d'apport d'oxygène.
Le pays entier est entouré de ce système et se prolonge dans les autres pays. Le système fonctionne plutôt bien ... je le sais, c'est moi qui l'ai créé. Tout ceci est bien sur confidentiel. J'aurai pu l'expliquer en détail si je n'avais pas les neurones à ébullition. J,ai tout en mémoire même si cette organisation m'a confisqué toutes mes recherches, tous mes plans et toutes mes pensées. Leur lavage de cerveau ne m'a que peu affecté. J'ai simulé cette perte de mémoire sélective tout en continuant à travailler sur la qualité de l'air au laboratoire. Mais les chocs électriques me reviennent sans arrêt en mémoire comme s'ils continuaient à me harceler jusquàu bout.
23:03 : je suis maintenant au laboratoire et il n'y a personne, enfin presque. J'ai du neutraliser un garde " Ce fut facile, c'était un ami ... je crois. Ils ont tellement confiance en leur système d'effacement mémoriel qu'ils n'ont même pas modifiés les différents codes d'accès. Je pénètre sans aucun problème au sein de salles de traitements et d'envoi de l'oxygène. J'infiltre dans les réservoirs d'oxygène près de 450 litres de cyanure comprimés en gaz et installe sous les moteurs centraux une mini-bombe à mercure afin d'éviter toute solution de retour. Mon crâne me lance à un tel point que j'ai du mal à conserver les yeux ouverts. Dehors, tout le monde s'amuse. Attendez-moi, il est 23:56 et dans quatre minutes, ce sera la fête générale. Le pays entier sera au courant, mais n'aura pas le temps de réagir. Mon système est tel que cela se propagera sur 60% de la planète compte tenu des facteurs humidité, vent.
Ça allait être la plus grande, et la plus longue des fêtes du Nouvel An..
Dans quelque minutes, c'est ma fête et je crois que je n'aurais plus jamais mal à la tête.

mercredi, juin 15, 2005

JOUR J-2

c'est déjà finiJour j-2
et pas eu le tps d'écrire une ligneu
des fois j'te jure tut demandeu
si pour bosser faudrait pas etre 2

voici pourtant presque 12 ans
que j'travaille 3 fois pas an
et encore en me curant les dents
et en me reposant

et là je pars
et voilà que gaspard
ce roi des connard
me fait bouger le dart (alors je dis attention gérard)

il aurait pu se reveiller plus tot
quoi que lui aussi est fonctionnau

bises a tous
promis demain j'en fait une mieux...

mardi, juin 14, 2005

Sploutchhhh

Après une semaine de canicule à 39 degrés celsius et genre 80 % d'humidité ...
l'orage a pété cette nuit ! Pas grand chose de mon côté ... j'suis à la campagne avec les poules, les chèvres et les chevaux ... mais quelle ne fut pas ma surprise en arrivant à Montréal de voir un bouchon de la Mort sur l'Autoroute !

Les routes ont été refaites récemment ...mais il semblerait qu'ils aient oublié de mettre des évacuations d'eau ???? Toujours est-il que la métropolitaine (genre de périph qui coupe l'île en deux d'Est en Ouest) est fermée car des voitures flottent dedans !!!!
Juste pour sortir de là ...j'ai dû passer à travers des flaques de 30 à 40 cm d'eau de pluie sale !!!
Quel défi ! Enfin j'ai bien rigolé en voyant les flambeurs en Miata ou en Mini-décapotables qui s'étaient garés sur le côté de peur de se faire emporter dans ce min raz de marée ...

Moins drôle pour les motards qui devaient faire demi-tour en contre sens sur la bande d'arrêt d'urgence ...

C'est aussi ça le Québec ... Venise ... prépare toi ...tu as de la concurrence avec la qualité des architectes urbains du coin ...

à la limite ça fout la trouille ...

lundi, juin 13, 2005

For the Chacal ... Last Call

Bientôt parti
le Pascal Qui ?

Direction l'Espagne
Patrie de sa compagne

Fini les coups d'éclats
sans le Pascal T'as ?

le Chacal fuit la région parisienne
à la recherche d'andalouses persiennes

Que nos voeux de bonheur te soutiennent
et que tous tes désirs surviennent
dans ce pays suave et ensoleillé
Apprend leur notre sens de l'humour sur-développé

et fais gaffe quand même aux bourre-pifs
si tu flatules trop près des hispanifs ...

bon ça rimait opas ...
fallait bien que je trouve de quoi
pour mon Chacal ...qui nous quitta ...

dernier lundi matin

faut'le dire si je vous saoule avec mes poésies du jour....

Dernier Lundi matin
et j'ai pal chagrin

vendredi, juin 10, 2005

Vendredi

Peut-être la peur de la Mort n'est-elle que le souvenir de la peur de Naître ?

Iouri Olecha

Extrait de "Pas un jour sans une ligne"

jeudi, juin 09, 2005

Il est marrant Charles !!

A dix-huit ans j'ai quitté ma province
Bien décidé à empoigner la vie
Le cœur léger et le bagage mince
J'étais certain de conquérir Paris

Chez le tailleur le plus chic j'ai fait faire
Ce complet bleu qu'était du dernier cri
Les photos, les chansons et les orchestrations
Ont eu raison de mes économies

Je m'voyais déjà en haut de l'affiche
En dix fois plus gros que n'importe qui mon nom s'étalait
Je m'voyais déjà adulé et riche
Signant mes photos aux admirateurs qui se bousculaient

J'étais le plus grand des grands fantaisistes
Faisant un succès si fort que les gens m'acclamaient debout
Je m'voyais déjà cherchant dans ma liste
Celle qui le soir pourrait par faveur se pendre à mon cou

Mes traits ont vieilli, bien sûr, sous mon maquillage
Mais la voix est là, le geste est précis et j'ai du ressort
Mon cœur s'est aigri un peu en prenant de l'âge
Mais j'ai des idées, j'connais mon métier et j'y crois encore

Rien que sous mes pieds de sentir la scène
De voir devant moi le public assis, j'ai le cœur battant
On m'a pas aidé, je n'ai pas eu d'veine
Mais au fond de moi, je suis sur d'avoir du talent

Ce complet bleu, y a trente ans que j'le porte
Et mes chansons ne font rire que moi
J'cours le cachet, j'fais du porte à porte

Pour subsister j'fais n'importe quoi
Je n'ai connu que des succès faciles
Des trains de nuit et des filles à soldats

Les minables cachets, les valises à porter
Les p'tits meublés et les maigres repas
Je m'voyais déjà en photographie

Au bras d'une star l'hiver dans la neige, l'été au soleil
Je m'voyais déjà racontant ma vie
L'air désabusé à des débutants friands de conseils

J'ouvrais calmement les soirs de première
Mille télégrammes de ce Tout-Paris qui nous fait si peur
Et mourant de trac devant ce parterre

Entré sur la scène sous les ovations et les projecteurs
J'ai tout essayé pourtant pour sortir de l'ombre
J'ai chanté l'amour, j'ai fait du comique et d'la fantaisie

Si tout a raté pour moi, si je suis dans l'ombre
Ce n'est pas ma faut' mais cell' du public qui n'a rien compris
On ne m'a jamais accordé ma chance

D'autres ont réussi avec un peu de voix mais beaucoup d'argent
Moi j'étais trop pur ou trop en avance
Mais un jour viendra je leur montrerai que j'ai du talent

Poésie du J-8

Un jour de plus
Un jour de moins

v'la la poésie du jour
car comme toujours
j'ai encore perdu la tete ce matin
la poésie j'l'ai pas lu dans l'train

Un jour de plus
Un jour de moins

Pour prime vous aurez la poesie de chacalo
A ne pas confondre avec le cachalot
Qu'est devenu el ultimo bastardo
Moi je suis chacal le bô

Un jour de plus
Un jour de moins

Aujourd'hui jour J-8
Reçu ce matin une tonne de travail
J'vais lui faire bouffer une amanite
a ce con qu'a envoyé de mail


Poésie Chacalienne...
sans rancune EUB, c'etait pour la rime

mercredi, juin 08, 2005

On vit vraiment ?

On vit vraiment dans un monde de nains
Entourés d'abrutis riches et pourtant mesquins

Vomi soit qui mal y pense
Mais que bien pleine reste ta panse

Consommons, Dépensons
De toute façon on l'aura dans le fion
C'est ça la Société de Consommation

De toute façon, j'aurai toujours tort
Quoique je dise ou fasse, je serai jamais le plus fort
Si vivre c'est ça ... ben je préfère être mort ...

J-9

Arrivé en oct. 1993
12 ANS DE BOULOT... déjà...
comme le temps passe vite, quand on aime son job.
Remarque, qui n'aimerait pas mon boulot... si, celui qui gagne plus et qui veut pas baisser son salaire parce que sa femme pète le budget...

enfin, 12 ans de boulot, et là je compte les jours qu'il me reste sur les doigts de mes mains...

La date approchant, l'envie manque, la motivation part, et seul ma présence reste...(j'entends déjà les mauvaises langues qui disent :"de toute façon tu n'as toujours fait que de la présence...")

A demain, pour le jour J-8

Poésie Française...

Aujourd'hui je ne t'ai pas vu
Aujourd'hui je ne t'ai pas lu
J'avais sûr la tête dans l'cul
Poême me rappeler je 'nai pas su

Poesie Française
De Chacal.

mardi, juin 07, 2005

poesie suite... la Grèce.

Sans me vanter ma bien-aimée,
J'ai traversé comme une balle
les dix années de ma captivité
Si je ne penses pas aux douleurs que j'ai au foie
J'ai le même coeur et la même tête qu'autrefois

de M. Le Pouêtgrec

j'ai eu le temps d'apprendre le poème, mais j'ai pas retenu l'auteur...
Faut dire que j'ai que 4 stations de Métro

lundi, juin 06, 2005

pppfff..

....ppff le logiciel Frontpage ...c'est vraiment de la daube ...

J'en reviens pas ... Bill ...si je te croise ..fais gaffe à Toi!

Ça va chauffer ...

vendredi, juin 03, 2005

test

La logique nous fait croire les faits tels qu'ils sont.Mais l'être humain ne croit qu'à ce qu'il veut...

jeudi, juin 02, 2005

...

"A force de freiner sur l'alcool, tout ce que tu vas gagner, c'est que tu vas te bousiller les freins"

mercredi, juin 01, 2005

ca y est ...

Ça y est ...j'ai les abeilles ... ils m'ont bien énervés ...

La soupape de sécurité est à sa limite ... ça va bientôt péter, je le sens ...
Fatigué de me battre pour avoir des réponses à des emails et de te faire entendre dire qu'ils sont débordés de travail ...qu'ils ont d'autres choses à faire ...alors que c,est leur boulot de répondre à ces questions ....

Je sais pas moi ... engagez une personne de plus ... prenez des cours d'organisation de son temps et de gestion .... Faites quelque chose !!!
Quand une décision majeure doit être prise ...étrangement la personne n'est pas là, en vacances, en réunion, en voyage d'affaires ..et cela prend 3 semaines pour avoir une réponse brève et stupide qui ne répond parfois même pas à la question que j'avais posé 21 jours auparavant ...
Démotivé de faire des efforts tel Travis Bickle pour satisfaire des personnes qui finalement n'en ont rien à foutre ...

Ce serait le temps d'un Putsch Rebel Club on dirait ...