Voici ce qui y est écrit dans le roc:
«Près de la neige, près du soleil, dans les domaines les plus élevés
Voyez comment ces noms sont fêtés par l'herbe ondulante
Et par les flammes du nuage blanc
Et chuchotements de vent dans le ciel d'écoute.
Les noms de ceux qu'en quelques-uns leurs vies ont combattu pour la vie
Qui a porté au leur des coeurs le centre du feu.
Soutenu du soleil ils ont voyagé un court tandis que vers le soleil
Et laissé l'air vivide a signé avec leur honneur.»
Pas mal la traduction GOOGLE incompréhensible !!!
L'Histoire du début à la fin
"La famille Pariseau a exigé que le nom de leur père soit immédiatement retiré de sur cette façade du monument. Ce qui a été fait. Mais malheureusement, puisque c'était gravé dans le roc, on peut toujours clairement voir les mots «adaptation Jean Pariseau».
La famille a aussi exigé qu'une plaque installée sur le monument soit retirée. De quelle plaque s'agit-il? Il s'agit d'une plaque que la Défense nationale avait effrontément ajoutée et qui se lisait comme suit:
«Les Forces canadiennes reconnaissent que la traduction française de ces poèmes n'est pas la reproduction parfaite des textes anglais. Le traducteur, Dr Jean Parizeau (il y avait une faute sur cette plaque dans le nom de M. Pariseau), qui était l'historien en chef de la Direction - Histoire et Patrimoine de l'époque, croyait que ces traductions étaient fidèles à l'intention de l'auteur. Nous encourageons donc la communauté francophone à faire preuve de tolérance envers l'interprétation artistique de la traduction».
Aussi incroyable soit-il, la Défense nationale blâmait M. Pariseau pour cette affreuse traduction alors qu'il n'en avait rien à foutre. En fait, M. Pariseau avait suggéré un autre poème pour cette façade du monument. Mais la Défense nationale en a choisi un autre pour des raisons qui lui appartienne et elle n'a jamais demandé à M. Pariseau de l'adapter au français ou de le traduire. En fait, M. Pariseau a été exclu de toute décision dans la sélection du poème qui a éventuellement été gravé en français «à la Google», selon sa fille Jocelyne.
Mais l'armée a tenté de faire croire à la communauté francophone que c'était M. Pariseau qui «croyait que ces traductions étaient fidèles à l'intention de l'auteur du poème». Puis elle a eu le culot de demander la tolérance des Canadiens français vis-à-vis cette traduction honteuse et irrespectueuse. «La réputation de mon père a été souillée», a écrit Jocelyne Pariseau dans sa lettre de 2011."
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