Vitupérations et autres éructations en tout genre
**** Paul Léautaud a dit : "Soyez toujours en état de prudence, de méfiance, de
contrôle à l'égard de tout ... Soyez jusqu'à la fin en état de
mécontentement, de vitupération, d'agression contre tout. L'homme qui arrive
à trouver que tout est bien est un demi-mort ...je vous souhaite ...de faire
votre carrière sans honneurs ni récompenses ..."
"Lettre à un Ami" 1937
mercredi, octobre 25, 2006
Penchée Guevarienne du Jour
'' Il faut s'endurcir sans jamais se départir de sa tendresse.''
Ernesto ''Che'' Guevara
4 commentaires:
Anonyme
a dit…
Il a dit aussi...
Dans toutes les forêts, on sous estime le plus petit et le plus terrible des ennemis.
Il faut toujours descendre vers ce qui est petit pour voir l'ennemi.
les fauves carnirvores attaquent rarement l'homme, toutes les mares qu'il faut traverser ne sont pas habitées par des caimans ou des piranhas et les serpents ne se jetteront pas sur le voyageur pour lui inoculer leur venin ou l'etouffer dans une etreinte mortelle. mais eux attaqueront... A la tombée du soir, un nuage changeant flotte sur l'eau et se jette sur tout être vivant passant par là. ils te piqueront inexorablement sur tout le corps en te laissant en échange du sang qu'ils emportent, des cloques répugnantes et de temps en temps le virus de la fièvre jaune ou plus fréquemment, le parasite provoquant le paludisme.
Il est beaucoup plus dangereux de pénétrer dans la forêt sans moustiquaire que sans arme...
(second voyage à travers l'Amérique latine 1953-1956) by Ernesto.
Et voilà..Druzi me donne toujours le petit coup de pouce qu'il faut pour oser... J'avoue aussi...mais dans le desordre...de la fermeté enveloppée d'une grande douceur... merci Druzi!
T'as pas pu tanan - pécher... Faut dire qu'on t'a tendu la perche... s'en fou... au moins ça fait apparaître ton museau de chacal. asta la vichou... heu, non c'est la vista... Bon ben buenos day.
4 commentaires:
Il a dit aussi...
Dans toutes les forêts, on sous estime le plus petit et le plus terrible des ennemis.
Il faut toujours descendre vers ce qui est petit pour voir l'ennemi.
les fauves carnirvores attaquent rarement l'homme, toutes les mares qu'il faut traverser ne sont pas habitées par des caimans ou des piranhas et les serpents ne se jetteront pas sur le voyageur pour lui inoculer leur venin ou l'etouffer dans une etreinte mortelle.
mais eux attaqueront...
A la tombée du soir, un nuage changeant flotte sur l'eau et se jette sur tout être vivant passant par là.
ils te piqueront inexorablement sur tout le corps en te laissant en échange du sang qu'ils emportent, des cloques répugnantes et de temps en temps le virus de la fièvre jaune ou plus fréquemment, le parasite provoquant le paludisme.
Il est beaucoup plus dangereux de pénétrer dans la forêt sans moustiquaire que sans arme...
(second voyage à travers l'Amérique latine 1953-1956) by Ernesto.
Barbarella fiel admiradora del ché.
Bin oui, DLM, osons l'avouer! je confirme pour en avoir assez parlé avec mes amies, mes soeurs, mes jumelles : doux mais ferme...
Druz' L'abuse
Et voilà..Druzi me donne toujours le petit coup de pouce qu'il faut pour oser...
J'avoue aussi...mais dans le desordre...de la fermeté enveloppée d'une grande douceur...
merci Druzi!
T'as pas pu tanan - pécher...
Faut dire qu'on t'a tendu la perche...
s'en fou... au moins ça fait apparaître ton museau de chacal.
asta la vichou...
heu, non c'est la vista...
Bon ben buenos day.
Enregistrer un commentaire