jeudi, novembre 30, 2017

Quand même ...13 !

Cela fait exactement 13 ans aujourd'hui que ce blob existe !

13 ans quand même ! La vache !
J'ai changé ( attendez je compte sur mes doigts )  ... 6 fois de boulot, 1 fois de baraque, 5 fois de bagnole, j'en passe et des meilleurs.

Alors   6 + 1 + 5  = 12 = 1 + 2 = 3   

            13 = 1+3 = 4 
   
             3 + 4  = 7  ... c'est sûrement un cycle !  Bon j'y connais rien et mon spécialiste de cyclimse ne travaille plus avec moi alors je ne peux pas vraiment confirmer mais il doit se passer un truc !


Bref, merci aux quelques lecteurs qui daignent me lire et me suivre ! N'hésitez pas à faire un petit commentaire ou juste un signe afin d'atténuer la progression de ma psychose qui me fait croire que j'écris dans le vide inter(net ou sidéral) afin de m'analyser à moindre coût et partout ou le vent me mène ( Merci Angelo).
Juste un :
 ''pas mal,''
''  bof, ''
''t'es con, ''
etc.
pourrait être suffisant, quoique je les reçois souvent un email ou texto alors tentez éventuellement l'originalité pour me surprendre agréablement ( ou pas ).

Tranquillement, j'espère retrouver mon rythme de croisière et si j'ai moins d'anecdotes croustillantes, je tâcherai de vous faire part de mes découvertes cinématographiques, sérielles, ou musicales ou tout autre oeuvre que je jugerai pertinente ou exécrable à participer dans ce journal de bord ...



        

mardi, novembre 28, 2017

Le réfrigérateur à côté de la machine à café.

Je croise une personne dans la cuisine alors que je me sers un café.

Un mini-sourire en coin ( ou un rictus, parfois, je ne suis pas sûr de faire vraiment la différence) se dessine sur son visage.
Je lui dis bonjour même si je ne la connais pas vraiment, même si je ne la connais vraiment pas.

Elle se dirige vers le réfrigérateur. Elle ne me répond pas.
Elle ouvre la porte du réfrigérateur et me lance :
'' Une banane dans le frigo, c'est jamais une bonne idée !''

Est-ce un code ? Une invitation à poursuivre une discussion sur la faculté des fruits à ne pas résister au froid ? Discuter de l'économie de la banane dans le monde et de son impact écologique ? Du problème récurrent de la variété Cavendish omniprésente tandis que la variété Gros Michel se retrouve délaissée au niveau international et peut engendrer une faiblesse génétique et donc un risque de maladie fongique de la banane ?

J'acquiesce vaguement en marmonnant un ''Bonne journée'' sobre mais efficace.

Je repars m'enfermer dans mon bureau.
Pas si facile que cela d'aller prendre un café de nos jours.
Finalement, je peux au moins me poser mes propres questions et tenter d'y répondre sur papier.



J'y connais rien en bananes.

lundi, novembre 27, 2017

'Valhalla Rising'





Intéressant, étrange, bizarre, violent, pas bavard.



Je ne crois pas que tout le monde aimera ! Mais bon ...

mardi, novembre 21, 2017

Anecdote boulangeresque

Fait vécu par un ami, ex-collègue :
«  - Bonjour Monsieur le boulanger !
Bon comme j’organise une mega soirée top 2000 ce soir, je vais vous prendre 3 pains aux noix, 3 baguettes au cumin et elles m’ont l’air bien belles vos miches  ( sans commentaire) je vais vous en prendre 3 !! 
- Euh ouais mais là, si vous prenez les 3 miches, je ne vais plus en avoir pour les autres clients et là, on est dans la matinée, et euh les miches... ben y en aura plus quoi ... faudrait prévenir avant quoi ..
- Attendez, je ne comprend pas. Vos miches sont à vendre non ? Ou elles sont en décoration?
- Non, non ... à vendre ...
- Et je suis un client non ?
- Euh ouais ... mais faudrait prévenir la prochaine fois car là j’ai plus de miche à vendre quoi, c’est pour ça !
- Ben oui mais sinon l'autre option serait d'en faire un peu plus alors mais bon j’dis ça ... au cas où quoi ..
- ... »

Le Boulanger ( enfin j’dis ça, certains doutes commencent à s’immiscer dans mon esprit suspicieux) lui emballe chaque pain dans un mini sac en papier sulfurisé qui glisse bien et notre ami, ex-collègue se retrouve avec 9 pains difficilement transportables de façon ergonomique et fiable même avec 4 bras ! 

« - Excusez-moi, pourrais-je avoir un sac afin de pouvoir emmener tous ces pains sans encombre et éviter de les faire choir au sol, et donc de les rendre impropres à la consommation si je me réfère à la conception de l’hygiène de notre société? ( bon j’en rajoute un peu mais c’est pour faire durer un peu le suspense quoi ... le climax, tout ça)
- Ben là, faudrait prévenir pour les sacs aussi car j’en n’ai pas 50 non plus hein ? Donc la prochaine fois, faut prévenir hein ?
- Te casses pas va, j’pense qu’il n’y en aura pas de prochaine fois ! »




Pas mal hein ? 

Y en a qui ont ça dans le sang le commerce ...

lundi, novembre 20, 2017

Le Manifeste jaune



Le problème avec des toilettes communes à plusieurs entreprises est que tu ne peux pas déceler les déviants ou autres dissidents.
Surtout lorsqu’une des entreprises en question est une clinique d’ophtalmologie ! 
Ceci explique peut-être cela ! 

Régulièrement, on peut trouver à côté des urinoirs des flaques plus ou moins suspectes. Malgré tout, je peux voir la couleur du dit-liquide puisque l’homme ( je suppose ) n’a point daigné tirer la chasse ( flusher comme on dit icitte) d’eau pour justement remplacer la jaunitûde de son évacuation par du h2o transparent et moins dégoûtant (quoique) ... du moins visuellement!

Alors je me pose la question.
Pourquoi ? 
Veulent-ils laisser une trace, tel un artiste rupestre ayant oublié son pinceau dans sa grotte, nomade de l’impossible, peintre créatif mais distrait qui laisse son esprit divaguer au point de rater sa toile et de tout saloper à côté? 
Est-ce un besoin de reconnaissance?
Un désir d’identification?
Une preuve d’amour ?
De je m’en foutisme ? 

La question est posée.

Cependant, sache Jeune Fou ( quoique la moyenne d’âge des patients semble plus flirter avec celle de Clint Eastwood que Millie Bobby Brown ) que l’homme de la Pampa a atteint ses limites en ce qui concerne la courtoise en ce qui concerne les us et coutumes de l’utilisation technique et/ou artistique des urinoirs.

Tes traces ne m’intéressent pas. Je n’ai pas besoin de savoir la couleur de ton flux, ni de la sentir. 
Apprends à te fondre dans la masse et à disparaître tel le  fennec dans le désert. 
Fais comme si tu n’etais jamais passé et ainsi l’ordre restera et le règne animal se maintiendra. 

Je divague un peu mais  les souvenances de ces effluves m’insupportent quelque peu.
Et encore, je ne parle pas de mes autres aventures dans ces mêmes lieux.

Mais cela est une autre histoire.

lundi, novembre 06, 2017