«Les phénomènes climatiques ne sont la faute d'aucune autorité mais c'est la faute d'un système, d'un modèle économique, le capitalisme, qui engendre ces conséquences climatologiques, ces changements climatiques qu'en définitive, les gens pauvres doivent payer», a expliqué Evo Morales, le chef de l'État bolivien.
Six des neuf régions du pays andin ont été atteintes par ces inondations dues aux pluies torrentielles faisant depuis novembre 51 morts et 180 000 sinistrés selon la défense civile.
Si on réfléchit bien ... il n'a pas tout à fait tort ...
mais bon j'dis ça ...
3 commentaires:
En même temps peut on vraiment faire confiance à un type qui met des pulls Guerisol et qui écoute Atahualpa Yupanki...
Notre président à nous, il a peut être pas raison, mais au moins il a une rolex, et il connait Didier Barbelivien!
Euuuuhh faut dire que tes arguments ne sont pas négligeables !
Mais bon personnellement, je prèfère Atahualpa Yupanqui à Barbelivien ... mais c'est un choix ...et c'est en souvenir de mon prof d'espagnol qui nous faisait écouter cela au lycée !
Serais tu un patriote sceptique, Ultimo?
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