Vitupérations et autres éructations en tout genre **** Paul Léautaud a dit : "Soyez toujours en état de prudence, de méfiance, de contrôle à l'égard de tout ... Soyez jusqu'à la fin en état de mécontentement, de vitupération, d'agression contre tout. L'homme qui arrive à trouver que tout est bien est un demi-mort ...je vous souhaite ...de faire votre carrière sans honneurs ni récompenses ..." "Lettre à un Ami" 1937
dimanche, décembre 31, 2017
mardi, décembre 26, 2017
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier Stig DAGERMAN
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier
(1952)
Stig DAGERMAN (1923-1954)
Traduit du suédois par Philippe BouquetEn ce qui me concerne, je traque la consolation comme le chasseur traque le gibier. Partout où je crois l’apercevoir dans la forêt, je tire. Souvent je n’atteins que le vide mais, une fois de temps en temps, une proie tombe à mes pieds. Et, comme je sais que la consolation ne dure que le temps d’un souffle de vent dans la cime d’un arbre, je me dépêche de m’emparer de ma victime.
Qu’ai-je alors entre mes bras ?
Puisque je suis solitaire : une femme aimée ou un compagnon de voyage malheureux. Puisque je suis poète : un arc de mots que je ressens de la joie et de l’effroi à bander. Puisque je suis prisonnier : un aperçu soudain de la liberté. Puisque je suis menacé par la mort : un animal vivant et bien chaud, un cœur qui bat de façon sarcastique. Puisque je suis menacé par la mer : un récif de granit bien dur.
Mais il y a aussi des consolations qui viennent à moi sans y être conviées et qui remplissent ma chambre de chuchotements odieux : Je suis ton plaisir – aime-les tous ! Je suis ton talent – fais-en aussi mauvais usage que de toi-même ! Je suis ton désir de jouissance – seuls vivent les gourmets ! Je suis ta solitude – méprise les hommes ! Je suis ton aspiration à la mort – alors tranche !
Le fil du rasoir est bien étroit. Je vois ma vie menacée par deux périls : par les bouches avides de la gourmandise, de l’autre par l’amertume de l’avarice qui se nourrit d’elle-même. Mais je tiens à refuser de choisir entre l’orgie et l’ascèse, même si je dois pour cela subir le supplice du gril de mes désirs. Pour moi, il ne suffit pas de savoir que, puisque nous ne sommes pas libres de nos actes, tout est excusable. Ce que je cherche, ce n’est pas une excuse à ma vie mais exactement le contraire d’une excuse : le pardon. L’idée me vient finalement que toute consolation ne prenant pas en compte ma liberté est trompeuse, qu’elle n’est que l’image réfléchie de mon désespoir. En effet, lorsque mon désespoir me dit : Perds confiance, car chaque jour n’est qu’une trêve entre deux nuits, la fausse consolation me crie : Espère, car chaque nuit n’est qu’une trêve entre deux jours.
Mais l’humanité n’a que faire d’une consolation en forme de mot d’esprit : elle a besoin d’une consolation qui illumine. Et celui qui souhaite devenir mauvais, c’est-à-dire devenir un homme qui agisse comme si toutes les actions étaient défendables, doit au moins avoir la bonté de le remarquer lorsqu’il y parvient.
Personne ne peut énumérer tous les cas où la consolation est une nécessité. Personne ne sait quand tombera le crépuscule et la vie n’est pas un problème qui puisse être résolu en divisant la lumière par l’obscurité et les jours par les nuits, c’est un voyage imprévisible entre des lieux qui n’existent pas. Je peux, par exemple, marcher sur le rivage et ressentir tout à coup le défi effroyable que l’éternité lance à mon existence dans le mouvement perpétuel de la mer et dans la fuite perpétuelle du vent. Que devient alors le temps, si ce n’est une consolation pour le fait que rien de ce qui est humain ne dure – et quelle misérable consolation, qui n’enrichit que les Suisses !
Je peux rester assis devant un feu dans la pièce la moins exposée de toutes au danger et sentir soudain la mort me cerner. Elle se trouve dans le feu, dans tous les objets pointus qui m’entourent, dans le poids du toit et dans la masse des murs, elle se trouve dans l’eau, dans la neige, dans la chaleur et dans mon sang. Que devient alors le sentiment humain de sécurité si ce n’est une consolation pour le fait que la mort est ce qu’il y a de plus proche de la vie – et quelle misérable consolation, qui ne fait que nous rappeler ce qu’elle veut nous faire oublier !
Je peux remplir toutes mes pages blanches avec les plus belles combinaisons de mots que puisse imaginer mon cerveau. Etant donné que je cherche à m’assurer que ma vie n’est pas absurde et que je ne suis pas seul sur la terre, je rassemble tous ces mots en un livre et je l’offre au monde. En retour, celui-ci me donne la richesse, la gloire et le silence. Mais que puis-je bien faire de cet argent et quel plaisir puis-je prendre à contribuer au progrès de la littérature – je ne désire que ce que je n’aurai pas : confirmation de ce que mes mots ont touché le cœur du monde. Que devient alors mon talent si ce n’est une consolation pour le fait que je suis seul – mais quelle épouvantable consolation, qui me fait simplement ressentir ma solitude cinq fois plus fort !
Je peux voir la liberté incarnée dans un animal qui traverse rapidement une clairière et entendre une voix qui chuchote : Vis simplement, prends ce que tu désires et n’aie pas peur des lois ! Mais qu’est-ce que ce bon conseil si ce n’est une consolation pour le fait que la liberté n’existe pas – et quelle impitoyable consolation pour celui qui s’avise que l’être humain doit mettre des millions d’années à devenir un lézard !
Pour finir, je peux m’apercevoir que cette terre est une fosse commune dans laquelle le roi Salomon, Ophélie et Himmler reposent côte à côte. Je peux en conclure que le bourreau et la malheureuse jouissent de la même mort que le sage, et que la mort peut nous faire l’effet d’une consolation pour une vie manquée. Mais quelle atroce consolation pour celui qui voudrait voir dans la vie une consolation pour la mort !
Je ne possède pas de philosophie dans laquelle je puisse me mouvoir comme le poisson dans l’eau ou l’oiseau dans le ciel. Tout ce que je possède est un duel, et ce duel se livre à chaque minute de ma vie entre les fausses consolations, qui ne font qu’accroître mon impuissance et rendre plus profond mon désespoir, et les vraies, qui me mènent vers une libération temporaire. Je devrais peut-être dire : la vraie car, à la vérité, il n’existe pour moi qu’une seule consolation qui soit réelle, celle qui me dit que je suis un homme libre, un individu inviolable, un être souverain à l’intérieur de ses limites.
Mais la liberté commence par l’esclavage et la souveraineté par la dépendance. Le signe le plus certain de ma servitude est ma peur de vivre. Le signe définitif de ma liberté est le fait que ma peur laisse la place à la joie tranquille de l’indépendance. On dirait que j’ai besoin de la dépendance pour pouvoir finalement connaître la consolation d’être un homme libre, et c’est certainement vrai. A la lumière de mes actes, je m’aperçois que toute ma vie semble n’avoir eu pour but que de faire mon propre malheur. Ce qui devrait m’apporter la liberté m’apporte l’esclavage et les pierres en guise de pain.
Les autres hommes ont d’autres maîtres. En ce qui me concerne, mon talent me rend esclave au point de pas oser l’employer, de peur de l’avoir perdu. De plus, je suis tellement esclave de mon nom que j’ose à peine écrire une ligne, de peur de lui nuire. Et, lorsque la dépression arrive finalement, je suis aussi son esclave. Mon plus grand désir est de la retenir, mon plus grand plaisir est de sentir que tout ce que je valais résidait dans ce que je crois avoir perdu : la capacité de créer de la beauté à partir de mon désespoir, de mon dégoût et de mes faiblesses. Avec une joie amère, je désire voir mes maisons tomber en ruine et me voir moi-même enseveli sous la neige de l’oubli. Mais la dépression est une poupée russe et, dans la dernière poupée, se trouvent un couteau, une lame de rasoir, un poison, une eau profonde et un saut dans un grand trou. Je finis par devenir l’esclave de tous ces instruments de mort. Ils me suivent comme des chiens, à moins que le chien, ce ne soit moi. Et il me semble comprendre que le suicide est la seule preuve de la liberté humaine.
Mais, venant d’une direction que je ne soupçonne pas encore, voici que s’approche le miracle de la libération. Cela peut se produire sur le rivage, et la même éternité qui, tout à l’heure, suscitait mon effroi est maintenant le témoin de mon accession à la liberté. En quoi consiste donc ce miracle ? Tout simplement dans la découverte soudaine que personne, aucune puissance, aucun être humain, n’a le droit d’énoncer envers moi des exigences telles que mon désir de vivre vienne à s’étioler. Car si ce désir n’existe pas, qu’est-ce qui peut alors exister ?
Puisque je suis au bord de la mer, je peux apprendre de la mer. Personne n’a le droit d’exiger de la mer qu’elle porte tous les bateaux, ou du vent qu’il gonfle perpétuellement toutes les voiles. De même, personne n’a le droit d’exiger de moi que ma vie consiste à être prisonnier de certaines fonctions. Pour moi, ce n’est pas le devoir avant tout mais : la vie avant tout. Tout comme les autres hommes, je dois avoir droit à des moments où je puisse faire un pas de côté et sentir que je ne suis pas seulement une partie de cette masse que l’on appelle la population du globe, mais aussi une unité autonome.
Ce n’est qu’en un tel instant que je peux être libre vis-à-vis de tous les faits de la vie qui, auparavant, ont causé mon désespoir. Je peux reconnaître que la mer et le vent ne manqueront pas de me survivre et que l’éternité se soucie peu de moi. Mais qui me demande de me soucier de l’éternité ? Ma vie n’est courte que si je la place sur le billot du temps. Les possibilités de ma vie ne sont limitées que si je compte le nombre de mots ou le nombre de livres auxquels j’aurai le temps de donner le jour avant de mourir. Mais qui me demande de compter ? Le temps n’est pas l’étalon qui convient à la vie. Au fond, le temps est un instrument de mesure sans valeur car il n’atteint que les ouvrages avancés de ma vie.
Mais tout ce qui m’arrive d’important et tout ce qui donne à ma vie son merveilleux contenu : la rencontre avec un être aimé, une caresse sur la peau, une aide au moment critique, le spectacle du clair de lune, une promenade en mer à la voile, la joie que l’on donne à un enfant, le frisson devant la beauté, tout cela se déroule totalement en dehors du temps. Car peu importe que je rencontre la beauté l’espace d’une seconde ou l’espace de cent ans. Non seulement la félicité se situe en marge du temps mais elle nie toute relation entre celui-ci et la vie.
Je soulève donc de mes épaules le fardeau du temps et, par la même occasion, celui des performances que l’on exige de moi. Ma vie n’est pas quelque chose que l’on doive mesurer. Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. Une vie humaine n’est pas non plus une performance, mais quelque chose qui grandit et cherche à atteindre la perfection. Et ce qui est parfait n’accomplit pas de performance : ce qui est parfait œuvre en état de repos. Il est absurde de prétendre que la mer soit faite pour porter des armadas et des dauphins. Certes, elle le fait – mais en conservant sa liberté. Il est également absurde de prétendre que l’homme soit fait pour autre chose que pour vivre. Certes, il approvisionne des machines et il écrit des livres, mais il pourrait tout aussi bien faire autre chose. L’important est qu’il fasse ce qu’il fait en toute liberté et en pleine conscience de ce que, comme tout autre détail de la création, il est une fin en soi. Il repose en lui-même comme une pierre sur le sable.
Je peux même m’affranchir du pouvoir de la mort. Il est vrai que je ne peux me libérer de l’idée que la mort marche sur mes talons et encore moins nier sa réalité. Mais je peux réduire à néant la menace qu’elle constitue en me dispensant d’accrocher ma vie à des points d’appui aussi précaires que le temps et la gloire.
Par contre, il n’est pas en mon pouvoir de rester perpétuellement tourné vers la mer et de comparer sa liberté avec la mienne. Le moment arrivera où je devrai me retourner vers la terre et faire face aux organisateurs de l’oppression dont je suis victime. Ce que je serai alors contraint de reconnaître, c’est que l’homme a donné à sa vie des formes qui, au moins en apparence, sont plus fortes que lui. Même avec ma liberté toute récente je ne puis les briser, je ne puis que soupirer sous leur poids. Par contre, parmi les exigences qui pèsent sur l’homme, je peux voir lesquelles sont absurdes et lesquelles sont inéluctables. Selon moi, une sorte de liberté est perdue pour toujours ou pour longtemps. C’est la liberté qui vient de la capacité de posséder son propre élément. Le poisson possède le sien, de même que l’oiseau et que l’animal terrestre. Thoreau avait encore la forêt de Walden – mais où est maintenant la forêt où l’être humain puisse prouver qu’il est possible de vivre en liberté en dehors des formes figées de la société ?
Je suis obligé de répondre : nulle part. Si je veux vivre libre, il faut pour l’instant que je le fasse à l’intérieur de ces formes.
Le monde est donc plus fort que moi.
A son pouvoir je n’ai rien à opposer que moi-même – mais, d’un autre côté, c’est considérable. Car, tant que je ne me laisse pas écraser par le nombre, je suis moi aussi une puissance. Et mon pouvoir est redoutable tant que je puis opposer la force de mes mots à celle du monde, car celui qui construit des prisons s’exprime moins bien que celui qui bâtit la liberté. Mais ma puissance ne connaîtra plus de bornes le jour où je n’aurai plus que le silence pour défendre mon inviolabilité, car aucune hache ne peut avoir de prise sur le silence vivant.
Telle est ma seule consolation. Je sais que les rechutes dans le désespoir seront nombreuses et profondes, mais le souvenir du miracle de la libération me porte comme une aile vers un but qui me donne le vertige : une consolation qui soit plus qu’une consolation et plus grande qu’une philosophie, c’est-à-dire une raison de vivre.
vendredi, décembre 22, 2017
Entendu
-Tout le monde me dit ça ! C’est un complot ou quoi ? »
samedi, décembre 16, 2017
vendredi, décembre 15, 2017
C'est grâce à la force de sa tolérance qu'on décèle l'humanité d'une personne, heureusement qu'il y a un paquet d'abrutis finis tout autour pour pouvoir bien faire la nuance et comprendre la subtilité de la chose ...
Alors voilà ! Aucune idée du pourquoi de cette phrase imprimée dans mon cerveau à cette heure-ci.
Mais je vous en fait profiter aussi, ça vous apprendra à lire mes conneries.
jeudi, décembre 14, 2017
STRIP TEASE - Le parapluie de Cherbourg
Encore un chef d'oeuvre !
Merci à Ramon le Justicier Saxophoniste pour le lien retrouvé !
samedi, décembre 02, 2017
Entropie
Où va le monde, à quoi ressemblera la terre qu’habiteront nos descendants? La notion d’entropie enferme la réponse la plus sûre à ces questions, les plus graves qui soient après celles qui portent sur le sens de la vie et de la mort. Quand on demandait à Einstein quelle était à ses yeux la loi la plus importante de la physique, il répondait: «le second principe de la thermodynamique.» La notion d'entropie est associée à ce second principe
La thermodynamique a pour objet les effets du travail, de la chaleur et de l’énergie sur un système. C’est, on s’en doute bien, après l’invention de la machine à vapeur que cette branche de la physique s’est développée.
Complexe dans ses ultimes raffinements, le second principe est aussi l’expression des observations les plus courantes et les plus banales. Un mot d’abord sur le premier principe. Il appartient au langage courant par la formule: rien ne se perd, rien ne se crée. La matière et l’énergie peuvent changer de forme, elles se conservent toujours. L’air que je respire en ferme des atomes que Platon a respirés il y a 2 500 ans et qui entre-temps ont peut-être été incorporés à la substance d’une plante ou d’un animal.
L’énergie peut toutefois se conserver sous diverses formes , sous celle du charbon par exemple ou celle de la chaleur que le charbon dégage dans une machine à vapeur. La différence est importante car sous la forme de la chaleur l’énergie n’est plus disponible pour produire du travail.
C’est le physicien allemand Clausius qui, en 1865, a forgé le mot "entropie". Sadi Carnot, un autre savant dont le nom est associé au second principe avait remarqué quarante ans plus tôt que l’une des caractéristiques de la machine à vapeur c’est qu’elle comporte une partie chaude et une partie froide et que cette différence fait partie des conditions de son fonctionnement. Plus la chaleur monte dans une partie, plus elle tend à se communiquer à l’autre partie. Si son expansion est freinée par une paroi quelconque, il en résultera à l’intérieur une pression qui actionnera une roue.
Ce passage du chaud au froid est un phénomène universel. Si nous déposons une tranche de pain chaude sur une autre froide, elles seront bientôt toutes les deux tièdes, atteignant ainsi l’équilibre.
Dans une machine à vapeur, une partie du charbon produit un travail, une autre partie se perd en chaleur et cette chaleur tend à se communiquer à ce qui est plus froid autour d’elle. On aura compris que plus la chaleur se disperse, plus il est difficile de lui faire produire du travail. On appelle entropie le processus par lequel l’énergie disponible se transforme en énergie non disponible. Il s'agit d'une grandeur mesurable. «Mesurée en calories, par gramme et par degré, elle est la quantité totale de chaleur ajoutée, divisée par la température.»1 Comme l’expérience nous le rappelle tous les jours de diverses manières, il s’agit là d’une loi de la nature qui constitue une réponse à la question Où va le monde? Il va à l’équilibre, à ce qui pour la matière est l’équivalent de la mort. Et ce processus est irréversible. Le rocher tombé de la montagne n’en fera pas l’escalade de lui-même, l’eau de la mer ne remontera pas les rivières et les chutes, l’énergie que la vie a rassemblée pour l’abandonner à la postérité sous forme de charbon, de pétrole ou de gaz, ne se reconstituera pas d’elle-même après avoir chauffé nos maisons et assuré le déplacement de nos véhicules.
La dégradation de l’énergie, ou sa transformation en énergie non-disponbile est l’un des aspects sous lequel on peut considérer le second principe. On peut dire aussi, comme nous le rappelle l’exemple de la diffusion de la chaleur, que l’énergie tend à perdre sa concentration, à se disperser. Il suffit d’ouvrir un flacon de parfum pour que l’énergie et l’odeur qu’elle contient se répandent dans toute une pièce. Il est intéressant de noter ce qui se passe alors à l’échelle moléculaire : à l’intérieur du flacon les molécules se heurtent les unes aux autres à rythme effréné : hors du flacon, elles s’entrechoquent mollement jusqu’à ce qu’elles se répartissent également dans leur nouvel espace.
On peut enfin présenter le second principe comme le passage de l’ordre au désordre. Une maison abandonnée à elle-même passe vite de l’ordre au désordre. Il faut ensuite une intervention extérieure accompagnée d’une grande dépense d’énergie pour remettre les choses en place et ainsi ramener l’ordre. Il en est ainsi dans la nature. Compte tenu de ce que nous venons de dire sur la dispersion, faut-il en conclure qu’il y a plus d’ordre dans le flacon où les molécules se déplacent plus vite et s’entrechoquent davantage que dans le grand espace où elles vont à l’équilibre. La réponse est oui. Preuve qu’il faut éviter de prendre le mot ordre dans un sens trop étroit quand on l’associe au second principe.
Pour mettre en relief le passage de l’ordre au désordre, les êtres vivants constituent un meilleur exemple que le flacon de parfum. Il y a un très haut degré d’ordre dans un être vivant, mais à sa mort, ou bien ses cendres sont dispersées, ou bien «tout va sous terre et entre dans le jeu,» comme dit le poète. (Paul Valéry) La mort est la fois perte d’ordre, perte de concentration et transformation d’énergie disponible en énergie non-disponible. Elle illustre les trois aspects de l’entropie.
À première vue toutefois, les êtres vivants constituent une exception au second principe. Ils vont en effet du désordre vers l’ordre. Il y a de nombreux éléments constitutifs dans une cellule; il faut que chacun soit à sa place et il faut aussi qu’ils soient liés entre eux- ce qui suppose une forte concentration d’énergie pour que la cellule vive et se reproduise. C’est pourquoi l’on peut dire avec le physicien Shrödinger que la vie est caractérisée par la néguentropie ou entropie négative
N’en concluons pas que le second principe est réfuté par la vie. L’univers auquel il s’applique est un système fermé. Les êtres vivants qui l’habitent, du moins en certaines de ses parties, sont des systèmes ouverts : il y a un échange de matière et d’énergie entre eux et leur environnement. C’est cet échange qui, dans certaines conditions, rend la vie possible. Mais même si elle se reproduit et si l’ordre s’accroît ainsi dans une partie de l’univers, le bilan global est celui que le second principe rendait prévisible : La vie ne peut créer de l’ordre à partir du désordre ambiant qu’au prix d’un accroissement du désordre ambiant global. La vie pollue. Elle est un luxe dans l’univers.
La couleur de la terre vue l'espace et la grisaille des autres planètes nous renvoient à la différence fondamentale entre la matière inanimée et la vie. La couleur de la terre est le signe de l'ordre supérieur dont la vie est capable. La grisaille qui l'entoure nous rappelle la règle générale dans l'univers, l'entropie, à laquelle la vie semble s'opposer, mais qu'elle accroît en réalité.
http://agora.qc.ca/dossiers/Entropie
jeudi, novembre 30, 2017
Quand même ...13 !
13 ans quand même ! La vache !
J'ai changé ( attendez je compte sur mes doigts ) ... 6 fois de boulot, 1 fois de baraque, 5 fois de bagnole, j'en passe et des meilleurs.
Alors 6 + 1 + 5 = 12 = 1 + 2 = 3
13 = 1+3 = 4
3 + 4 = 7 ... c'est sûrement un cycle ! Bon j'y connais rien et mon spécialiste de cyclimse ne travaille plus avec moi alors je ne peux pas vraiment confirmer mais il doit se passer un truc !
Bref, merci aux quelques lecteurs qui daignent me lire et me suivre ! N'hésitez pas à faire un petit commentaire ou juste un signe afin d'atténuer la progression de ma psychose qui me fait croire que j'écris dans le vide inter(net ou sidéral) afin de m'analyser à moindre coût et partout ou le vent me mène ( Merci Angelo).
Juste un :
''pas mal,''
'' bof, ''
''t'es con, ''
etc.
pourrait être suffisant, quoique je les reçois souvent un email ou texto alors tentez éventuellement l'originalité pour me surprendre agréablement ( ou pas ).
Tranquillement, j'espère retrouver mon rythme de croisière et si j'ai moins d'anecdotes croustillantes, je tâcherai de vous faire part de mes découvertes cinématographiques, sérielles, ou musicales ou tout autre oeuvre que je jugerai pertinente ou exécrable à participer dans ce journal de bord ...
mardi, novembre 28, 2017
Le réfrigérateur à côté de la machine à café.
Un mini-sourire en coin ( ou un rictus, parfois, je ne suis pas sûr de faire vraiment la différence) se dessine sur son visage.
Je lui dis bonjour même si je ne la connais pas vraiment, même si je ne la connais vraiment pas.
Elle se dirige vers le réfrigérateur. Elle ne me répond pas.
Elle ouvre la porte du réfrigérateur et me lance :
'' Une banane dans le frigo, c'est jamais une bonne idée !''
Est-ce un code ? Une invitation à poursuivre une discussion sur la faculté des fruits à ne pas résister au froid ? Discuter de l'économie de la banane dans le monde et de son impact écologique ? Du problème récurrent de la variété Cavendish omniprésente tandis que la variété Gros Michel se retrouve délaissée au niveau international et peut engendrer une faiblesse génétique et donc un risque de maladie fongique de la banane ?
J'acquiesce vaguement en marmonnant un ''Bonne journée'' sobre mais efficace.
Je repars m'enfermer dans mon bureau.
Pas si facile que cela d'aller prendre un café de nos jours.
Finalement, je peux au moins me poser mes propres questions et tenter d'y répondre sur papier.
J'y connais rien en bananes.
lundi, novembre 27, 2017
'Valhalla Rising'
Intéressant, étrange, bizarre, violent, pas bavard.
Je ne crois pas que tout le monde aimera ! Mais bon ...
mardi, novembre 21, 2017
- Euh ouais mais là, si vous prenez les 3 miches, je ne vais plus en avoir pour les autres clients et là, on est dans la matinée, et euh les miches... ben y en aura plus quoi ... faudrait prévenir avant quoi ..
- Attendez, je ne comprend pas. Vos miches sont à vendre non ? Ou elles sont en décoration?
- Non, non ... à vendre ...
- Et je suis un client non ?
- Euh ouais ... mais faudrait prévenir la prochaine fois car là j’ai plus de miche à vendre quoi, c’est pour ça !
- Ben oui mais sinon l'autre option serait d'en faire un peu plus alors mais bon j’dis ça ... au cas où quoi ..
- ... »
Le Boulanger ( enfin j’dis ça, certains doutes commencent à s’immiscer dans mon esprit suspicieux) lui emballe chaque pain dans un mini sac en papier sulfurisé qui glisse bien et notre ami, ex-collègue se retrouve avec 9 pains difficilement transportables de façon ergonomique et fiable même avec 4 bras !
« - Excusez-moi, pourrais-je avoir un sac afin de pouvoir emmener tous ces pains sans encombre et éviter de les faire choir au sol, et donc de les rendre impropres à la consommation si je me réfère à la conception de l’hygiène de notre société? ( bon j’en rajoute un peu mais c’est pour faire durer un peu le suspense quoi ... le climax, tout ça)
- Ben là, faudrait prévenir pour les sacs aussi car j’en n’ai pas 50 non plus hein ? Donc la prochaine fois, faut prévenir hein ?
- Te casses pas va, j’pense qu’il n’y en aura pas de prochaine fois ! »
lundi, novembre 20, 2017
Le Manifeste jaune
lundi, novembre 13, 2017
lundi, novembre 06, 2017
lundi, octobre 23, 2017
St. Vincent - "Los Ageless"
Pas encore séduit à 100% par la musique
Mais elle joue de la guitare !! Mention très honorable !
Même la performance live est recherchée quand même !!!
Merci à Rovello pour le lien !!!
Je ne mettrai pas la pochette de l'album en lien pour éviter toute controverse !
C'est déjà assez le bordel comme ça dans le showbiz ici !
Mais le lien de son site pour acheter sa musique ou autres accessoires si cela vous tente :
www.ilovestvincent.com
Bonne chance
jeudi, octobre 12, 2017
samedi, octobre 07, 2017
mercredi, septembre 20, 2017
Note du jour
Et je ne plaisante même pas !
Un accent belge limite agressif en plus ...
lundi, septembre 11, 2017
Pendant la pause d'un cours, une étudiante bosse sur du modeling dans Maya et essaye d'exporter sa scène Maya dans Zbrush. Comme elle n'y arrive pas elle me demande quoi faire.
Je lui dit que je ne suis pas prof de 3D mais qu'il faut sûrement exporter un .obj ou autre de son modeling pour pouvoir l'ouvrir dans Zbrush ...
Elle me répond:
-"Un quoi ? Un nobjiii??? "
- ... "
mercredi, septembre 06, 2017
vendredi, août 04, 2017
Par contre l'expérience d'immersion dans le luxe fut partiellement compromise par l'ambiance musicale et j'ai eu le droit au «Best of d'Enrico Macias» avec celle-ci pour commencer :
J'avoue que la guitare est, somme toute, intéressante mais bon ...
Alors je ne sais pas si c'est mon accent ou mon faciès qui a influencé ce choix culturel mais je tenais à dire que je ne portais aucune signe distinctif culturel ou vestimentaire ayant pu influer sur cette décision !
Allez, profitez-vous aussi de ce petit son du bled ...
jeudi, août 03, 2017
Sergio 'Tapiro' Velasco
Sinon depuis hier, le 2 Août,« l’humanité aurait consommé la totalité des ressources que la Terre peut produire en une année. Une date symbolique pour alerter les gens sur l’urgence écologique et les mesures à prendre au quotidien.
mardi, août 01, 2017
JPJ
Jean-Pierre Jeunet
A propos du support de ses films par la critique, les journalistes, etc.
dimanche, juillet 30, 2017
Petits cours pour comprendre, parler, apprendre le québécois :
http://www.je-parle-quebecois.com/
Moins présent sur le blob car je remplis mon cerveau intensément tous les jours et cela faisait un moment que je ne le manipulais plus ainsi ... ça me procure une fatigue pas mal différente !
Je reviens dans pas grand temps
Allez la bise
U.
mercredi, juillet 05, 2017
Et voilà...
vendredi, juin 23, 2017
That was the End // This is the Beginning
" Ton effet c'est pas mal ... mais en fait, c'est exactement l'inverse qu'il faudrait faire !"
" J'ai l'impression que c'est un peu Noël dans ta shot : on passe d'un rouge rosé, rose sale à un vert malade ... pas sûr que ça va fonctionner quoi ..."
" - Bon y a plein de choses à faire là ! Faut gérer nos priorités !
- ...
- ...
- Café ?
- OK ! "
A bientôt pour de nouvelles aventures ...
mardi, juin 20, 2017
- ...
- Soit j'ai un talent fou, soit les gens sont vraiment nuls ! Comment ils font les mecs ? Ils pensent à rien ? Ils font juste ce qu'on leur dit ...et aucune initiative ??
- ...
- ... Ils pourraient pas essayer de créer quelque chose de .... beau ?"
"- Pas mal ta salade de pousses de tournesol !! Tu les fait pousser toi-même !
- ... ouais ... dans mes chiottes !
- ...
- ..."
" T'es vraiment un emmerdeur !! Même quand tu respires faut que tu fasses chier le monde !!"
dimanche, juin 18, 2017
samedi, juin 17, 2017
- Là vous me dites que la technique au complet ne fonctionne pas ?
- ...
- ...
- Mais non !!!!
- ...
- un petit peu quand même !"
"- Tu as lu la citation de l'autre imbécile ?
- non ...
- " Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal, c'est le courage de continuer qui compte" me semble que c'est Churchill !!
- ... en gros : " Vous êtes nuls mais bon, on vous garde un peu quand même "
- vu comme ça !
- ...
- ...tiens j'en ai une aussi : " Le tech check n'est pas final, le retake n'est pas fatal ...c'est l'overtime qui compte ! "
- pas mal !'
" Putain j'en peux plus ! C'est le vortex des tech checks !!!"
vendredi, juin 16, 2017
" - Faudrait qu'il y ait comme une dégradation ...pré-dissipation !!
- Bon, tu sais ce que je vais faire ? ... Je vais te donner mes élements 3D et tu vas le tester au comp !"
" - Faut que j'ailler faire tondre mon clébard !
- c'est quelle race ?
- un morki.
- ... c'est quoi un morki ?
- C'est un mélange entre un yorshire et un bichon ...les 2 races que je déteste le plus !
- ..."
" - On peut essayer un morph ?
- un morph ou un dissolve soigné entre les 2 élements ....
- ...ouais ...un morph quoi !"
" - Il aime pas quand ca fait des tubes spaghettis !
- En même temps, un tube, ça ressemble pas mal à un spaghetti aussi ...
- ..."
jeudi, juin 15, 2017
mercredi, juin 14, 2017
mardi, juin 13, 2017
lundi, juin 12, 2017
dimanche, juin 11, 2017
vendredi, juin 09, 2017
- Ouais ...celui-là ... C'est pas bien ... mais c'est le moins pire."
" - La shot ou il se passe rien, ça, ça va ! Y a des bons commentaires !
- ...
- On devrait faire juste des crops en fait !"
" - Puis le meeting ?
- il aime là ou on voit rien !
- ... ah."
" - Qu'est ce que tu veux pour ton anniversaire ?
- J'veux rien ...
- ...
- J'veux surtout qu'on me foute la paix !
- ...
- Mais ça, je l'aurai jamais !!!"
" - 10 heures !!! Meeting !
- Alllleeeezzz, encore un meeting qui sert à rien ...
- ...
- mais on y va pareil !"
Dédicace Spéciale à un Artiste dissident :
" Tu peux pas avoir le "blur" et l'argent du "blur.""
lundi, juin 05, 2017
" Combien de temps pour une meilleure résolution ? Je voudrais de la pure folie !"
"- Pas mal ...mais t'as pas pris le bon modèle !
- Non mais faut que tu le regardes pour apprendre !
- Apprendre que t'as pas pris le bon modèle ?
- pfff, tu comprends rien !"
" - La distance rend propice les rapprochements ?
- ... c'est pas l'inverse plutôt ?
- ah oui ...merde !"
"- Soit tu le diminues complètement ... soit tu l'enlèves ....
- ..."
lundi, mai 29, 2017
Haiku du Jour : Ça sent la fin de projet ! La fatigue s'accumule, les brèves aussi
- ouais mais visuellement c'est beau !
- ... ça reste quand même de la merde !
- ..."
" - Regarde c'est cool !
- Ouais ... c'est bien de loin mais c'est loin d'être bien !
- C'est un test ! Juste pour voir si ça fonctionne !
- Aaaaah ! Alors c'est très bien ! Je me rétracte ! C'est super ! "
" - Achète Toyota sinon ... c'est fiable et pas trop cher !
- ouais mais c'est laid !
- Tu t'en fous ! T'es à l'intérieur quand tu conduis !
- c'est laid aussi à l'intérieur !
- bon ben Tesla !
- là tu parles !"
" Les films d'horreurs c'est comme les films pornos ... t'en vois 2 ou 3 ... voire 4. C'est tout le temps pareil !!"
samedi, mai 27, 2017
- ils se foutent vraiment de la gueule du monde !!! C'est tout ce que j'ai à dire ! "
- ...
- ..."
" - Puis c'est quoi le résumé de votre meeting ?
- On n'est responsable de rien mais on doit s'assurer de mettre toutes les pièces du casse-tête dans le bon ordre !!
- hein ?
- ... ouais ... "
" Finalement on ne peut se fier à rien ??? .... pas même aux refs !!! C'est ça qu'on se dit souvent quand même !"
vendredi, mai 19, 2017
Florilège de Brèves
- C'est pas mal ... mais bon c'est comme les glows sur fond noir ça ! C'est super beau ...puis quand tu les importes dans la shot, c'est à chier !
- ..."
" - Pourquoi t'es pas venu au meeting ?
- Il m'a pas appelé ! Je pense qu'il a une mémoire sélective !
- ... il a une mémoire de merde surtout !!!"
jeudi, mai 18, 2017
Bon, hier c'était le premier jour de célébration du 375eme anniversaire de Montréal ! !
Et ça va durer tout l'été si cela vous tente de faire un tour à Montréal !
Par contre Chris Cornell est mort cette nuit ... quelle merde !
Si vous ne le connaissiez pas ... passez votre chemin ...ou Google !
R.I.P
Les lézards au soleil #2
- Attends ! Y a du monde en bas ?
- Ben non tu penses bien ... il fait beau ! Ils sont tous dehors à se faire bronzer !
- Bon ça va ! On va pouvoir bouffer tranquille à l'intérieur !"
" De toute façon, ils mettent tellement de merde dans les crèmes solaires que t'as qu'à choisir :
Cancer de la peau par les UV si tu ne mets pas de crème ou ... cancer de la peau et autres ... à cause des crèmes de merde !!'
mercredi, mai 17, 2017
- ... en ... en avant !
- non ... c'est en arrière !
- ...
-...
- ...mais il voit rien ! Il est daltonien !
- ..."
" De toute façon avec le client, ça va toujours être l'inverse de ce qu'on avait dit !"
" - Comment il a réussi à faire ça ? C'est vraiment bon ! Il a fait du vaudou ?
- J'sais pas mais ça sentait le poulet mort à côté de son bureau !"
" Pfff j'vais dans SHOT INFO et y a rien ! Même pas une info !"
samedi, mai 13, 2017
- ouais ... mais j'aurai rajouté du chocolat dedans !
- Pas de chocolat merde ! Les graines de cacao, ce sont des petits gamins noirs qui les ramassent et qui sont payés à coups de pieds dans le cul ! Merde!
- ..."
"- Rhaaa la gueule ... on dirait un banquier voleur avec ces lunettes !
- ...
- ...
- ... un voleur quoi !
- ...euh ouais."
jeudi, mai 11, 2017
Pensée du jour
...
Finalement je n'ai rien suivi car je me suis aperçu que la vie est souvent cruelle ...ou ridicule.
" Il était aussi heureux qu'il en était capable." Gatsby - Scott Fitzgerald
jeudi, mai 04, 2017
Blitz du matin ... Chagrin ?
- Tu te fous de ma gueule ?
- ... même pas ...
- ...
- ...
- On n'y arrivera jamais ...
- Ouais ..je sais ....
- ....pppfffff
- ..."
- euh ... tout ....
- ...
- ... "
vendredi, avril 28, 2017
# gratuit
- J'l'emmerde ! Lui et ses modifs !"
- Ben non tu penses bien ! Il pense à rien ! Il fait semblant de réfléchir ! ! C'est un con!
- ...
- ... et ouais mon vieux ! Faut voir la réalité en face ..."
dimanche, avril 23, 2017
Le second, je l'ai lu il y a quelques années ( ouais j'ai le bounquin en rosbeef car y a de beaux dessins dedans !) ..il manque quelques passages poignants mais bon ... c'est Hollywoooooddd !!
allez
vendredi, avril 21, 2017
Après ça, plus grand chose à dire ...
-" T'as vu la dernière bande-annonce du film de Lelouch ? Une sorte d'Expendable français ! T'as Halliday, Christophe Lambert, Béatrice Dalle, Du jardin et plein d'autres ! A la fin, j'ai rien compris ...
-...
-...
- Lelouch c'est un con.
-...
-..."
lundi, avril 17, 2017
mercredi, avril 05, 2017
lundi, avril 03, 2017
Est-ce moi qui décroche ou qui perd le fil ?
" Depuis que je vieillis, mon odorat se développe ! Je ne supporte plus rien ... et surtout l'odeur des chiottes du 2ème ! "
"- Tu viens pas au meeting ?
- Non !! J'me barre ! Toute façon je comprend rien, personne ne m'écoute et c'est après que j'ai raison !"
vendredi, mars 31, 2017
Phrase du Mois, voire de l'Année
mardi, mars 28, 2017
Sylvie aime Maurice
mardi, mars 21, 2017
Un peu de musique relaxante ...
Je prendrai malgré tout des bouchons pour ne pas saigner des oreilles !
jeudi, mars 16, 2017
- Ben ouais mais pourquoi elle a louche aussi ?
- J'en sais rien, un strabisme quelconque, un trouble obsessionnel compulsif ...
- Ça leur tentait pas de prendre une actrice qui louchait pas ..ou de refaire la prise ?
- euh bon tu peux corriger ? Sinon je la refile à quelqu'un d'autre.
- Ça va, ça va ... si on peut plus discuter aussi !
- ...
- ...
- Ses yeux sont tellement gros que cela prend 8 frames à blinker !!!
- ...
-... ça va être plus cher !
-....
- ... on peut vraiment pas déconner avec Toi aujourd'hui ! !! T'es chiant!"
vendredi, mars 03, 2017
"Bon, j'ai mis tous tes plans à "NOT SENT" mais sache que c'est très bien ce que tu fais ..."
" Le rêve ... ce serait de ne rien faire !"
( Bon ok c'est sorti de son contexte mais bon, il est bon d'esquisser un sourire parfois ...)
" Si tu regardes ça en loop, ... tu vas tomber en dépression !"
jeudi, mars 02, 2017
dimanche, février 26, 2017
samedi, février 25, 2017
vendredi, février 24, 2017
vendredi, février 10, 2017
mardi, février 07, 2017
mercredi, février 01, 2017
samedi, janvier 28, 2017
Entendu à la Radio
Je cite :
" Pour la commotion cérébrale, c'est pas nous qu'on en a parlé !"
Magnifique ... quoique .
jeudi, janvier 26, 2017
Bribes de conversation
- L'autobus ? Ouais, tu meurs en groupe au moins !"
"Avertissement de neige terminé ... ok mais avertissement de merde commencé aussi !!"
"Je ne regarde plus mes mails du boulot ! A chaque fois, il y a toujours un nouveau truc à faire ! "
"- On a reçu juste une montagne. Je ne sais pas trop ce qu'il faut faire avec !
- Même pas le niveau de l'eau ?
- Non ... même pas ...
- Bon ... ça va être parfait !!"
lundi, janvier 23, 2017
mardi, janvier 10, 2017
À bientôt donc ... pour ceux qui restent.