mercredi, janvier 31, 2018

OK pas Corral - la suite

Je ne vois plus l’écureuil noir ce matin.
Par contre 3 autres écureuils se battent pour le refuge de celui-ci. La bagarre dure 40 secondes et une des bestioles pénètre dans le trou de l’érable. Les deux autres se sauvent et vont agresser d’autres rats à queue touffue un peu plus loin.
Finalement un second écureuil pénètre lui aussi dans le trou qui avait causé le triptyque pugiliste cité précédemment. Peut-être la femelle ou le mâle ou LGBT, bref, cette intrusion semble permise car aucun grognement ne se fait entendre !
Le train m’appelle, juste avant de détourner le regard, j’aperçois mon écureuil noir tout seul sur une branche assez loin de la communauté...

Allez t’es pas tout seul mon pote.

mardi, janvier 30, 2018

« Il nous faut des modèles qualité film! »


Digne de Maxwell ... seuls les vieux comprendront.

OK pas Corral ... Update 01

En attendant le train sous un ciel bleu azur et un froid affûté qui me rigidifie la pilosité nasale interne, je me surprend à un moment de poésie naturaliste à tendance animalière.

En effet, la patience n’ayant jamais été mon fort, je m’égare à observer les écureuils qui vivent dans le boisé à côté du quai de gare désert. J’arrive à en reconnaître quelques uns car je les surveille depuis plusieurs semaines.
Le matin très tôt, ils ne sortent jamais. Lorsque je commence plus tard, je peux les voir jouer ou se battre allègrement à la recherche de nourriture, d’une branche, pour se nourrir ou s’amuser.

Il y en a un, un peu plus gros que les autres et beaucoup plus foncé. Il ou elle ne semble pas s’amuser. Elle surveille son nid : un trou assez étroit dans un arbre juste en face de moi. Elle protège son territoire ou peut être des petits. Elle empêche les autres d’y entrer et se dépêche toujours de retourner à l’intérieur dès qu’elle a des branches ou des restes de feuilles, d’écorce trouvées sous la neige.

Mais le long véhicule électrique chargé de me mener vers le lieu d’apprentissage pour jeunes Padawans ayant comme volonté de faire des effets dignes du pays de l’oncle Sam, approche et mes doigts, confortablement,  s’ankylosent.

C’était mon interlude de la journée... au boulot maintenant.



Qu'ils sont cons ces écureuils !
J'ai corrigé quelques fautes pendant ma pause syndicale , le froid ayant eu le dessus sur mes gros doigts gercés ( ne cherchez pas il n'y a pas de contrepèteries !) 

jeudi, janvier 11, 2018

mardi, janvier 02, 2018

La vie c'est comme la salive...



Allez un petit rappel ... histoire de se souvenir que parfois, même si c"est dégueulasse, c'est aussi cela la vie ...