Ayé, ils sont partis
Ce matin à 8 heures di(x)
Sans larme en coin d’œil
J’vais blogger le recueil
Ayé, ils ne sont plus là
Pas loin de l’avion a cette heure là
Et nous déjà au boulot
Au lieu de rattraper le dodo
Ayé il nous ont quittés
Sans même se retourner
Faute à la Mumu je dis
Et son putain de torticolis
Merci d’être venu parmis nous
Car un peu grâce a vous
Il y a des gens fatigués
Et surtout très enchantés
Et pour finir en beauté
Je vais me répéter
Je sors ma dernière douille…
Nous ne sommes qu’un jet de couille(s ?)…
3 commentaires:
Ayé, ils vont renter...
Pour l'amitié, on prend le relais
Le blog va re d'aime marrer
Car c'est je pense
Avec impasse et science
et après 3 semaines d'abstinence
Que nous attendons tous
les premiers mots d'ultimo
et les maux de Bastardo
Bienvenu
bin oui,
ils sont partis
avec des bouts de nous
mais on reste avec des bouts (din!)d'eux
oh! moi j'en ai marre , je vire sur la prose ...
ca devient trop dur de suivre le rythme des poueteurs fous! aïe (Rodriguez...!)
Barbarella je souhaiterai vraiment lire un post de ta part, plutôt que des comments! Je vais en toucher 2 mots à Bastardo... quand il sera rentré et aura reprit possession de ses facultés diverses...
Bises à tous
And God save the blog!
j'en étais sûr Chacal que ça allait finir ....
en ...ouille ....
ahaha Sacré Chacal !
On est des hyènes ....les autres à côté ce sont juste des fèneques ...
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