Fallait pas le faire
Fallait pas le dire
Fallait pas ...
Un point c'est tout
.
J'aurai pu et je ne l'ai pas fait
J'aurai du mais je n'y ai pas cru
Je ne savais pas quels étaient les effets
Qu'avec cela, tout serait révolu ...
Tu m'as oublié quelquepart
Tu m'as traîné dans les Bars
Tu savais que je ne regardais plus la lumière du phare
C'est comme cela que je suis devenu un pauvre bâtard ...
un avatar
un néo-tard
un cale- à marre
va falloir que j'arrête la gnôle de mon cousin .... j'ai les neurones qui frétillent ... les pupilles qui me titillent ...
et les mains qui tremblent ...
6 commentaires:
Et quand les douleurs se précisèrent, elle s'accroupit et accoucha sous son étal, tout comme les autres fois, et trancha avec son couteau à poisson, le cordon de ce qui venait d'arriver là.
Mais voici qu'à cause de la chaleur et de la puanteur, elle tourna de l'oeil, bascula sur le côté, roula sous la table et jusque sur le pavé, restant là en pleine rue, le couteau à la main.
On crit, on accourt...Elle revient lentement à elle.
On lui demande ce qu'il c'est passé
Rien.
Qu'est ce qu'elle fait avec ce couteau?
Rien
Qu'est ce que ce sang sur sa jupe?
Les poissons...
Elle se lève, jette le couteau et s'en va pour aller se laver.
Mais voilà que, contre toute attente, la chose sous l'étal se met à crier.
On y va voir et, sous un essaim de mouches, au milieu des antrailless et des têtes de poissons, on découvre le nouveau né...On le dégage...(j'ai du mal à écrire tellement j'arrive à imaginer...)
On le confie d'office à une nourrice, la mère est arrêtée.
Et comme elle ne fait aucune difficulté à avouer qu'elle aurait surement laissé creuver le marmot, comme du reste les 4 autres précédents, on la traduit en justice, on la condamne pour infanticide réitéré et, quelques semaines plus tard, on lui coupe la tête en Place de grêve.
Quelques pages plus loin...
Jeanne Bussie se présentait, un panier au bras, à la porte du cloître Saint Merri et, s'adressant au père Terrier qui lui ouvrait, un moine d'une cinquantaine d'années, chauve et sentant le vinaigre, la nourrice lui dit:
Tenez!
Elle posa le panier sur le seuil.
Qu'est ce que c'est ? dit Terrier
Et il se pencha sur le panier en reniflant, supposant qu'il s'agissait de victuailles...(quel porc...)
Le bâtard de l'infanticide de la rue aux fers...
C'est ainsi,à l'endroit le plus puant de tout le royaume, que vit le jour, le 17 juillet 1738, Jean Batiste Grenouille.
Le parfum de Patrick Suskind
cchhuuuuttt fallait opas le dire ....
Tel est crû qui croyait pendre ....
Toute façon quand on sait comment il a finit le bougre!
Bouffé par ses con-génères!
Bien l'ambiance!
Voilà je t'ai trouvé de quoi continuer à faire rimer tes pensées noires :
bagnard, canard, goguenard, cafard,
peinard,campagnard,lard,bizarre, pantouflard,répertoire, couloir,cauchemar,chambard, chaloir, surseoir,dortoir, bougeoir,couard, couguar, grattoir, panard, et pour finir BABAR!
ha j'oubliai! radar et bouilloire.
Panard et Babar dans une même phrase .... ouh la !!
Babar il me faisait peur quand j'étais petit ....
T'as oublié aussi le Gloubi bulgare ....
Oui! Un Babar ça trompe énormément surtout quand un Babar en cache un autre, alors là, doublement flippant. Et en plus il était habillé en vert Babar, et franchement quand on a le teint gris comme lui, le vert il faut proscrire. Mais bon, personne ne l'a coaché non plus ce pauvre babar! Il a pas été oublié sur le listing des QUEERS, et alors, c'est pour ça que tu lui en veux, après toutes ces années???
Remarque, moi c'est Donald qui me terrifiait quand j'avais encore l'âge des bonbecks collés autour de la bouche, et bin depuis ma thérapie je bouffe régulièrement du canard à l'ananas, et comme tu vois, ça va beaucoup mieux ...
tu faisais aussi une fixation sur l'ananas ?
De mon côté c'est les Aubergines que j'Ai en horreur ...
J'aime pas le goût, la forme, la couleur ...et même le nom ... mais bon ....
J'aimais pas Babar ...c'était trop intellectuel pour moi .... Je préférai Colargol ou Albator puis Cobra ...des trucs moins violents quoi ......
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