Alors voici une petite photo de l'endroit ou je bosse !
Si vous savez ou c'est ...vous viendrez boire un expresso avec moi ou un repas le midi ?
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Vitupérations et autres éructations en tout genre **** Paul Léautaud a dit : "Soyez toujours en état de prudence, de méfiance, de contrôle à l'égard de tout ... Soyez jusqu'à la fin en état de mécontentement, de vitupération, d'agression contre tout. L'homme qui arrive à trouver que tout est bien est un demi-mort ...je vous souhaite ...de faire votre carrière sans honneurs ni récompenses ..." "Lettre à un Ami" 1937
Une bombe nucléaire américaine est enfouie depuis 40 ans sous les glaces, dans le nord du Groenland, rapporte la BBC.
Selon des documents déclassifiés, obtenus grâce au Freedom of Information Act régissant l'administration américaine, l'armée n'a jamais pu localiser la bombe. Et ce, malgré des recherches terrestres et sous-marines.
Le 21 janvier 1968, un bombardier B-52 s'est écrasé près de la base de Thulé, au Groenland, avec quatre bombes nucléaires. Trois ont été retrouvées, mais la dernière manque toujours à l'appel.
Une base de la guerre froide
Cette base, la plus septentrionale des États-Unis, constituait un pilier de la guerre froide des années 50. Elle permettait de détecter un éventuel lancement de missiles soviétiques au-dessus du pôle Nord. Des bombardiers survolaient la base, afin de pouvoir riposter en cas d'attaque.
Mais l'un de ces vols a mal tourné. Et bien que le Groenland appartienne au Danemark, la présence d'armes nucléaires a toujours été tenue secrète.
Des fouilles terrestres ont été entreprises. Elles ont remué près de deux milliards de litres de glace sans que la banquise ne livre son secret. Une opération sous-marine n'a rien donné non plus. Le gouvernement américain a toujours caché le véritable but de ces recherches à Copenhague.
Des recherches abandonnées
Le Pentagone a finalement abandonné les recherches. « Cela aurait été difficile pour quelqu'un d'autre de les trouver si nous n'y parvenions pas », commente aujourd'hui un ancien ingénieur nucléaire américain.
Aujourd'hui, les responsables américains estiment que tout danger de radioactivité est écarté. « Mais l'accident, le nettoyage et le mystère de la perte de cette bombe continuent à hanter ceux qui étaient impliqués à l'époque - et ceux qui vivent dans la région aujourd'hui - à cause des possibles impacts sur la santé et l'environnement des évènements de ce jour en 1968 », écrit le média anglais.
« …je gagne ma vie paisiblement, sans peine, en faisant un travail régulier et facile pour lequel je ne risque pas du tout d’être ennuyé gravement.
Tout a été soigneusement nettoyé et mis en place lorsque j’arrive ; quand je ferme la porte et m’en vais, saluer mes chefs, aucun souci ne sort avec moi. Ainsi je gagne ma vie qui s’écoule avec assez de lenteur et d’aisance, et que je goutte beaucoup, à sa valeur. »
« Cependant le soir, libre de mon temps, je prends conscience d’être un homme pensant : je lis et je réfléchis, réservant une demi-heure à cet effet avant de dormir.
Dans ce moment, une amertume coutumière m’envahit et je me prends à songer que je suis vraiment un être humain supérieur à sa fonction sociale. Ma je dis alors une sorte de prière où je remercie la Providence de m’avoir fait petit et irresponsable dan un si mauvais ordre des choses.
Si la colère m’anime je me calme aussitôt, songeant à cette fortune d’être placé, par mes intérêts comme par mes sentiments, dans la classe qui possède la servitude et l’innocence.
Esclave je me sens plus libre qu’un maître chargé de soins et de mauvaise conscience.
Je rêve quelque fois au monde meilleur que mon enthousiasme refroidi me représente plus rarement depuis quelques années. Mais bientôt je sens que je vais dormir.
Et je tourne encore mon esprit vers mon enfant qui me lie à l’ordre social et dont l’existence aggrave ma condition de serf. Je pense aussi à cette femme…Alors ma respiration devient tout à fait régulière car la tranquillité m’apparaît comme le seul bien souhaitable, dans un monde trop méchant encore pour être capable de se libérer, d’après ce que disent les journaux. »
«On estime que le trou devrait revenir aux concentrations de 1970 autour de 2050. Cela, parce qu'il faut beaucoup de temps pour éliminer les CFC de la stratosphère», précise M. Bourqui.
La taille maximale du trou observée cette année était d'un peu plus de 27,2 millions de km2, avec une profondeur de 6 km. C'est légèrement moins que le grand record de 29,5 millions de km2 atteint en 2006."
Bon et bien c'est le changement en marche ces temps-ci ! Va falloir que je m'y mette aussi alors !
Calfeutrons les trous et bougeons notre corps de l'immobilisme ambiant !