vendredi, février 24, 2006

Raaah, la grosse cochonne !

Intempéries aux Canada : début de noyade chez les porcines... Voilà c'que ça donne lorsqu'une cochonne se fait tirer par deux mecs...
Il y en a qui font courir la rumeur que c'est la femme de Gropig ? Pfff !

Vous z'inquiétez pas, la poésie-charcutière c'est mon dada !
Ma culture se nuance parfois de rose.

Mes pralos, c'est juste vous aider à prendre un peu de recul sur un sujet piteux que vous avez à cœur : " Une cochonne peut-elle être aimée de deux hommes sans soupçonner leur amour ? ".
Et bien oui, car comme dit ma voisine : " quand j’étais p’tite fille un soldat m’a aimée deux ans sans que je le susse ! "
Honnêtement, que serait la vie sans cochonnes et sans l’imparfait du subjonctif ?

J’enfile donc mon beau smoking du prêt-à-penser et chausse ma plus belle plume à eau pour vous livrer ce poème-charcutier ‘coercible’...
J'vous ai prévenus, c'est mon dada !
Un jour on dira : "le philosophe Moloch est mort… et on ne sait même pas de quoi il est mort ! Euuuh, on ne savait pas non plus de quoi il vivait"…
C’est pour cela, El Ultimo et Ramon, qu’ il nous faut nous résigner qu’au bonheur et à strictement rien d’autres !

Lève-toi camarade, et lit ce poème à haute voix… le jour de gloire va bientôt arriver !
Tu peux aussi l’chanter sur fond de Marseillaise Gainsbaresque !…

►Qui a osé dire que j'avais
Un gros caractère de cochon,
Mammifère banni à jamais
Par certaines de nos religions.

►Ma préférence c’est le fumé,
Avant après pour l'appétit.
Mais qu'attends-tu pour le rouler
Fais le tourner ma chère Peggy

►Cet arrière - goût original
Nous en fait consommer encore
Et ce délice bien peu banal
Fait oublier que c'est du porc

►D'Amsterdam des marins qui chantent,
Là, il est vrai que je m'égare
Mais cette suite était très marrante
Donc reprenons dès le départ

►Pour sûre avec cette qualité
Faisons nous des excès sans triche
Et adonnons-nous au péché
En faisant péter des sandwichs.

►Et sans omettre bien sûr le beurre
Qui complétera ce goût divin
Et ce sera un dure labeur
D'ouvrir quelques bouteilles de vin.

►Pas de panique c'est très facile
Sans outil en sa possession
Cet animal se veut utile
De par sa queue en ‘tire-bouchon’.

►Il est temps pour moi d'arrêter
Je vous ais mis l'eau à la bouche
Et vous conseille ce goût fumé
Car il est l'heure que je me couche

►Apprécie-le en f’sant la ronde,
Ce doux poème du père Didier,
Si tu as ri quelques secondes
Et ben tant mieux c’est c’que j’voulais.

►Commentez donc en f’sant tourner
Ce Jambou fumé printanier…
Savoure le bien mon camarade
Car c’est certain’ment le dernier.

Gruiiik, gruiiik !!!

3 commentaires:

Dévi a dit…

Ahahahahahahhahahahahahahahahaha...hahahahahahahahhaha...
je viens de voir les têtes...et je suis morte de rire...
Vous avez fini de me tuer Mr Moloch de Barbachie...?

El Ultimo Bastardo a dit…

Vas-y rigole Barbarella ...Toi ..toi tu vas pleure tout à l'heure !

Merci Moloch de cet instant de documentaire à l'état brut et pur ...

C'est pas r'lam le grouiccckk ????

druzilla a dit…

Et les poils... les poils de cochon ?...on en fait des brosses??

Mon beau, mon magnifique cochon,
Offrande à rillettes et saucissons,
Toi qui n'est point féroce
Et dont on fait du poil de brosse,
Pardonne à tes adorateurs,
D'aimer à ce point ta saveur...
Ton joli groin de folie,
Ta langue au bain marie...
Ha! cochon qui s'en dédit!!


Druzi Facochère






c'est samedi ici aussi ...